Sensibiliser à la prise en compte du genre

Education, participation aux instances de décision, responsabilités dans les entreprises, possession de la terre… Dans tous ces domaines, les inégalités entre les hommes et les femmes sont criantes.

Poids de la tradition, de l’éducation, de la législation, ces inégalités entravent le développement du pays. Lorsque les décideurs sont des hommes, ils font des choix en fonction de leur vécu et de leurs besoins, souvent sans prendre en compte le vécu et les besoins des femmes, sans le vouloir. C’est pour cela qu’une prise de conscience des enjeux est importante.

La place des femmes est centrale dans COFIFAM. C’est dans ce cadre qu’une série de rencontre avec les vendeuses de cuiseurs et les artisans qui les fabriquent est organisée dans les 8 préfectures de la Basse-Guinée et à Conakry.

Une carte des points de vente des cuiseurs !

Vous voulez acheter Soneya, notre cuiseur à haut rendement énergétique ?

Trouvez le point de vente le plus proche de chez vous sur notre nouvelle carte interactive.

Tous les points de vente ne sont pas encore recensés, mais nous allons continuer à l’enrichir.

Voir en plein écran

Pour plus de renseignements, n’hésitez pas à contacter les animateurs de votre zone : Préfecture de Boffa : 621 40 72 26 Préfecture de Boké : 621 40 70 75 Préfecture de Coyah : 621 40 70 90 Préfecture de Dubréka : 621 40 71 61 Préfecture de Forécariah : 621 40 70 90 Préfecture de Fria : 621 40 71 61 Préfecture de Kindia : 621 40 71 14 Préfecture de Télimélé : 621 40 72 89 Conakry : 621 40 72 22

Un nouveau projet d’alphabétisation

L’APEK va ouvrir 15 centres d’alphabétisation pour 300 personnes en Basse-Guinée grâce au soutien de l’OIF, l’organisation internationale de la francophonie.

En parallèle du projet COFIFAM, et pour répondre à la motivation des vendeuses à vouloir apprendre à lire et écrire. Les meilleures vendeuses formeront un groupe de personnes motivées dans leur village ou leur quartier. Ensemble, ils fixeront les jours et heures des séances. Un alphabétiseur villageois sera formé pour encadrer le groupe.

Cette première étape de 5 mois se fera en langue locale. Une deuxième étape de renforcement, toujours en langue locale, devrait être suivie par un apprentissage du français.

Notre projet fait partie des 59 dossiers acceptés par l’OIF sur 1400 demandes reçues !